Inventaire après décès de Roberte Landoys, à la requête de Pierre Farou, maître aiguilletier à Paris, en son nom à cause de la communauté de biens qui était entre lui et ladite défunte jadis sa femme, et en la présence de Louise Landoys (signe Landois), veuve de Jean Jacquin, maître tourneur en bois à Paris, sœur et habile à se dire et porter seule héritière de ladite défunte. Les biens étant en une chambre des appartenances d'une maison assise à Paris, rue Vallée de Misère, appelée la maison des boutiques des poissonniers.

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Inventaire après décès de Roberte Landoys, à la requête de Pierre Farou, maître aiguilletier à Paris, en son nom à cause de la communauté de biens qui était entre lui et ladite défunte jadis sa femme, et en la présence de Louise Landoys (signe Landois), veuve de Jean Jacquin, maître tourneur en bois à Paris, sœur et habile à se dire et porter seule héritière de ladite défunte. Les biens étant en une chambre des appartenances d'une maison assise à Paris, rue Vallée de Misère, appelée la maison des boutiques des poissonniers. 
xsd:date 1606-08-09 
9 août 1606 
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Relevé d'inventaires après décès, 1560-1610 (3454 actes), par Martine Constans, 2001-2009 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). ou Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme. Date de création de la notice :2009 Date de révision :2018 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)  
Inventaire après décès de Roberte Landoys, à la requête de Pierre Farou, maître aiguilletier à Paris, en son nom à cause de la communauté de biens qui était entre lui et ladite défunte jadis sa femme, et en la présence de Louise Landoys (signe Landois), veuve de Jean Jacquin, maître tourneur en bois à Paris, sœur et habile à se dire et porter seule héritière de ladite défunte. Les biens étant en une chambre des appartenances d'une maison assise à Paris, rue Vallée de Misère, appelée la maison des boutiques des poissonniers. 

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