Inventaire après décès de Philippe Symon, marchand de poisson d'eau douce, bourgeois de Paris. A la requête de sa femme Françoise Debonvilliers, exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt. Et encore tant en son nom, à cause de la communauté, que comme tutrice de Philippe Symon âgé de 16 ans 9 mois, et Catherine Symon âgée de 11 ans 3 mois, leurs enfants mineurs. Et aussi à la requête de Jacques Amaury, conseiller du roi et receveur des aides et tailles en l'élection de Tonnerre (89700), et Françoise Symon sa femme (qui signe Simon), en leurs noms à cause d'elle; et encore ledit Amaury, subrogé tuteur des mineurs. Françoise, Philippe et Catherine Symon, habiles à se dire et porter héritiers de leur père. Les biens étant en une maison où le défunt est décédé, et y faisait sa demeure, sise à Paris rue du quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois. Montrés par la veuve et par Etienne Hurlot (qui signe Heurlot), son fils du premier lit. Fait également à Sartrouville (78500) en une maison appartenant à la succession. Dans les papiers : Inventaire après décès de Marthe Sauvaige, jadis femme dudit défunt Philippe (Simon) du 2 octobre 1585, signé Choquillot et Leroy). Contrat de mariage Symon-Debonvilliers, alors veuve de Faron Hurlot, du 15 décembre 1585, passé par-devant Jamart et Leroy. Contrat d'échange du 27 novembre 1587, signé Choquillot et Leroy, entre Guyonne Canivet veuve de François Sauvage, et le défunt Symon et Debonvilliers sa femme, la moitié appartenant à ladite Canivet par la succession de défunte Marie SImon, sa petite-fille, fille dudit Simon et de ladite Marthe Sauvage, jadis sa femme en secondes noces, en la maison sise sur le quai de la Mégisserie, où pend pour enseigne l'Ecu de France. Contrat de mariage Françoise Symon - Jacques Amaury, du 9 janvier 1605, signé Choquillot et Tulloue.

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Inventaire après décès de Philippe Symon, marchand de poisson d'eau douce, bourgeois de Paris. A la requête de sa femme Françoise Debonvilliers, exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt. Et encore tant en son nom, à cause de la communauté, que comme tutrice de Philippe Symon âgé de 16 ans 9 mois, et Catherine Symon âgée de 11 ans 3 mois, leurs enfants mineurs. Et aussi à la requête de Jacques Amaury, conseiller du roi et receveur des aides et tailles en l'élection de Tonnerre (89700), et Françoise Symon sa femme (qui signe Simon), en leurs noms à cause d'elle; et encore ledit Amaury, subrogé tuteur des mineurs. Françoise, Philippe et Catherine Symon, habiles à se dire et porter héritiers de leur père. Les biens étant en une maison où le défunt est décédé, et y faisait sa demeure, sise à Paris rue du quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois. Montrés par la veuve et par Etienne Hurlot (qui signe Heurlot), son fils du premier lit. Fait également à Sartrouville (78500) en une maison appartenant à la succession. Dans les papiers : Inventaire après décès de Marthe Sauvaige, jadis femme dudit défunt Philippe (Simon) du 2 octobre 1585, signé Choquillot et Leroy). Contrat de mariage Symon-Debonvilliers, alors veuve de Faron Hurlot, du 15 décembre 1585, passé par-devant Jamart et Leroy. Contrat d'échange du 27 novembre 1587, signé Choquillot et Leroy, entre Guyonne Canivet veuve de François Sauvage, et le défunt Symon et Debonvilliers sa femme, la moitié appartenant à ladite Canivet par la succession de défunte Marie SImon, sa petite-fille, fille dudit Simon et de ladite Marthe Sauvage, jadis sa femme en secondes noces, en la maison sise sur le quai de la Mégisserie, où pend pour enseigne l'Ecu de France. Contrat de mariage Françoise Symon - Jacques Amaury, du 9 janvier 1605, signé Choquillot et Tulloue. 
xsd:date 1606-08-28 
28 août 1606 
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Fichier dit 'général' XVIIe-XVIIIe siècles, par le personnel du Minutier, 1954-1999 ( fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). ou Relevé d'inventaires après décès, 1560-1610 (3454 actes), par Martine Constans, 2001-2009 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). ou Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme. Date de création de la notice :2009 Date de révision :2018 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)  
Inventaire après décès de Philippe Symon, marchand de poisson d'eau douce, bourgeois de Paris. A la requête de sa femme Françoise Debonvilliers, exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt. Et encore tant en son nom, à cause de la communauté, que comme tutrice de Philippe Symon âgé de 16 ans 9 mois, et Catherine Symon âgée de 11 ans 3 mois, leurs enfants mineurs. Et aussi à la requête de Jacques Amaury, conseiller du roi et receveur des aides et tailles en l'élection de Tonnerre (89700), et Françoise Symon sa femme (qui signe Simon), en leurs noms à cause d'elle; et encore ledit Amaury, subrogé tuteur des mineurs. Françoise, Philippe et Catherine Symon, habiles à se dire et porter héritiers de leur père. Les biens étant en une maison où le défunt est décédé, et y faisait sa demeure, sise à Paris rue du quai de la Mégisserie, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois. Montrés par la veuve et par Etienne Hurlot (qui signe Heurlot), son fils du premier lit. Fait également à Sartrouville (78500) en une maison appartenant à la succession. Dans les papiers : Inventaire après décès de Marthe Sauvaige, jadis femme dudit défunt Philippe (Simon) du 2 octobre 1585, signé Choquillot et Leroy). Contrat de mariage Symon-Debonvilliers, alors veuve de Faron Hurlot, du 15 décembre 1585, passé par-devant Jamart et Leroy. Contrat d'échange du 27 novembre 1587, signé Choquillot et Leroy, entre Guyonne Canivet veuve de François Sauvage, et le défunt Symon et Debonvilliers sa femme, la moitié appartenant à ladite Canivet par la succession de défunte Marie SImon, sa petite-fille, fille dudit Simon et de ladite Marthe Sauvage, jadis sa femme en secondes noces, en la maison sise sur le quai de la Mégisserie, où pend pour enseigne l'Ecu de France. Contrat de mariage Françoise Symon - Jacques Amaury, du 9 janvier 1605, signé Choquillot et Tulloue. 

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