Inventaire après décès de Rieul Cain, vivant maître orfèvre à Paris, à la requête de Marie Boursin (qui signe Boursen), sa femme, demeurant à Paris, en une maison ou forge où le défunt est décédé, sise au bout du Pont-au-Change, paroisse Saint-Barthélemy, tant en son nom pour la conservation de ses conventions matrimoniales que comme tutrice et curatrice créé et ordonnée par justice aux personnes et biens de Claude Cain (qui signe Quin), âgé de 21 ans, Philippe Cain, âgé de 19 ans, Jean Cain (qui signe Quin), âgé de 17 ans et de Pierre Cain, âgé de 8 ans, enfants mineurs dudit défunt et d’elle. Aussi à la requête de Jean Jaupitre, maître orfèvre à Paris, en son nom à cause de Marie Cain, sa femme, et de Thomas du May, maître vinaigrier à Paris, aussi en son nom à cause de Jeanne Cain, sa femme. Lesdits Marie, Jeanne, Claude, Philippe, Jean et Pierre Cain habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt Rieul Cain, leur père. Et encore ledit Jaupitre comme subrogé tuteur desdits mineurs.
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Inventaire après décès de Rieul Cain, vivant maître orfèvre à Paris, à la requête de Marie Boursin (qui signe Boursen), sa femme, demeurant à Paris, en une maison ou forge où le défunt est décédé, sise au bout du Pont-au-Change, paroisse Saint-Barthélemy, tant en son nom pour la conservation de ses conventions matrimoniales que comme tutrice et curatrice créé et ordonnée par justice aux personnes et biens de Claude Cain (qui signe Quin), âgé de 21 ans, Philippe Cain, âgé de 19 ans, Jean Cain (qui signe Quin), âgé de 17 ans et de Pierre Cain, âgé de 8 ans, enfants mineurs dudit défunt et d’elle. Aussi à la requête de Jean Jaupitre, maître orfèvre à Paris, en son nom à cause de Marie Cain, sa femme, et de Thomas du May, maître vinaigrier à Paris, aussi en son nom à cause de Jeanne Cain, sa femme. Lesdits Marie, Jeanne, Claude, Philippe, Jean et Pierre Cain habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt Rieul Cain, leur père. Et encore ledit Jaupitre comme subrogé tuteur desdits mineurs.
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1607-03-23
23 mars 1607
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Origine de l'information :
Artisans XVIIe, par M. Jurgens, M.A. Fleury, R. Gourmelon et le personnel du Minutier central, 1954-1996 (fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
ou
Dépouillements réalisés par les bénévoles de "Projet Familles parisiennes.org/Au-delà de l'état-civil" : analyses de liasses d'inventaires après décès des XVIe et premier XVIIe siècles, par Jean-François Viel, Quentin Gravier, Pascal Ganier, Anthony Lachaud, Jean-Dominique Pellegrini et Christophe de Mazancourt, avec l'aide de Mireille Gille, Nicole Chantelou et Jacques Le Marois pour la mise en forme.
Date de création de la notice : 2010
Date de révision : 2017 (Marie-Françoise Limon-Bonnet)
Inventaire après décès de Rieul Cain, vivant maître orfèvre à Paris, à la requête de Marie Boursin (qui signe Boursen), sa femme, demeurant à Paris, en une maison ou forge où le défunt est décédé, sise au bout du Pont-au-Change, paroisse Saint-Barthélemy, tant en son nom pour la conservation de ses conventions matrimoniales que comme tutrice et curatrice créé et ordonnée par justice aux personnes et biens de Claude Cain (qui signe Quin), âgé de 21 ans, Philippe Cain, âgé de 19 ans, Jean Cain (qui signe Quin), âgé de 17 ans et de Pierre Cain, âgé de 8 ans, enfants mineurs dudit défunt et d’elle. Aussi à la requête de Jean Jaupitre, maître orfèvre à Paris, en son nom à cause de Marie Cain, sa femme, et de Thomas du May, maître vinaigrier à Paris, aussi en son nom à cause de Jeanne Cain, sa femme. Lesdits Marie, Jeanne, Claude, Philippe, Jean et Pierre Cain habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt Rieul Cain, leur père. Et encore ledit Jaupitre comme subrogé tuteur desdits mineurs.
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Cain, Ruelle
Cain, Rieulle
Boursin, Marie