. . "Mathieu SADON, marchand ébéniste, rue de Charonne, obtient des Délais de ses créanciers Jean-Baptiste FROMAGEAU, marchand menuisier, rue Traversier, Jean-Baptiste DUBRAY peintre et vernisseur, rue Saint-Nicolas, Etienne LOULIÉ, fondeur, rue de Charonne, Louis CHAVET, ébéniste, rue Saint-Nicolas, Charles BONIN, maître menuisier, rue Saint Nicolas, à qui il a expliqué qu'il avait acheté de Laurent ROCHETTE, maître ébéniste, son fonds de boutique, moyennant 3700 l., dt il a reglé 1400 l. et qu'il devait encore 2300 l. à Rochette, qui a fait saisir ses marchandises pour les vendre à vil prix, alors qu'il les lui avait vendues, ce qui l'avait obligié à racheter à crédit des matières premières pour travailler de sa profession et garni son magasin, mari que le malheur des tous l'admit mis tour d'état de vendre ses ouvrages, et marchandises et qu'en plus Rochette, au mépris de la vente qu'il lui avait fait de sa fonds de boutique qui a eu la mauvaise foi de couturier à faire travailler pour son compte du métier d'ébéniste et d'aller trouver presque toutes les pratiques qui dépendaient du fonds de boutique pour continuer à leur fournir..."@fr . . . . "Mathieu SADON, marchand ébéniste, rue de Charonne, obtient des Délais de ses créanciers Jean-Baptiste FROMAGEAU, marchand menuisier, rue Traversier, Jean-Baptiste DUBRAY peintre et vernisseur, rue Saint-Nicolas, Etienne LOULIÉ, fondeur, rue de Charonne, Louis CHAVET, ébéniste, rue Saint-Nicolas, Charles BONIN, maître menuisier, rue Saint Nicolas, à qui il a expliqué qu'il avait acheté de Laurent ROCHETTE, maître ébéniste, son fonds de boutique, moyennant 3700 l., dt il a reglé 1400 l. et qu'il devait encore 2300 l. à Rochette, qui a fait saisir ses marchandises pour les vendre à vil prix, alors qu'il les lui avait vendues, ce qui l'avait obligié à racheter à crédit des matières premières pour travailler de sa profession et garni son magasin, mari que le malheur des tous l'admit mis tour d'état de vendre ses ouvrages, et marchandises et qu'en plus Rochette, au mépris de la vente qu'il lui avait fait de sa fonds de boutique qui a eu la mauvaise foi de couturier à faire travailler pour son compte du métier d'ébéniste et d'aller trouver presque toutes les pratiques qui dépendaient du fonds de boutique pour continuer à leur fournir..."@fr . . "\n \n \n Origine de l'information :\n \n Artisans du meuble, 1736-1799, par Ch. H. Lerch, 1990-1993 (fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).\n \n Date de création de la notice :2010\n \n "^^ . . . "1758-02-09"^^ . . "9 février 1758"@fr . .