Inventaire après décès de Marie-Louise CORDIER femme de Louis DURAND, maître ébéniste à Paris, rue de Charonne, qui laisse 1 fille mineure, décédée 2 décembre 1788, en présence de Louis-François de VERGILE, marchand mercier, même rue - Emperlise de l'atelier par Jacques-Laurent COSSON, rue de Charonne, et Roger VANDERCRUSE dit LACROIX, demeurant grande rue du faubourg Saint-Antoine, tous 2 maîtres ébénistes : 4 établis, outils bois de sapin, chêne, acajou (594 l. 10 s.), citron, amarante, ébène, bois de rose - 2 secrétaires en armoire non finis 140 l.- 4 tables en bois de citron finis 192 l.- 4 tables à patin en bois d'acajou 120 l.- 1 commode de 4 pieds en bois d'acajou 75 l. Papiers : contrat de mariage DURAND-CORDIER devant SILLY (et IX) 2 mai 1787, lui 600 l. dame veuve Cordier d'une 1 400 l. de dot + 200 l. lui a recueilli 500 l. de son père et mère. Il est du à Durand pour ouvrages et marchandises fournis : par PRESLE, ébéniste, rue Saint-Martin 178 l. par HENRY, maître ébéniste au Palais Royal 350 l. par BONNEMAIN, ébéniste rue Saint-Honoré 96 l. il doit à de Vergile 533 l. et à la veuve CORDIER, sa belle mère 600 l.- contrat de mariage de Louis DURAND maître ébéniste, rue de Charonne avec Marie-Françoise-Louise MARYE, fille d'1 maître perruquier - Témoins du futur, François-Honoré LEMARCHAND, marchand mercier, et DEMOULIN sa femme, Louis-François de VERGILE, marchand mercier et DEMOULIN, épouse amis, Marie-Madeleine COURTOIS, veuve de Guillaume CORDIER, ébéniste et Guillaume-Jean CORDIER ébéniste, amis, .. elle, dot de 1200 l. et apporte + 1200 l.
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Inventaire après décès de Marie-Louise CORDIER femme de Louis DURAND, maître ébéniste à Paris, rue de Charonne, qui laisse 1 fille mineure, décédée 2 décembre 1788, en présence de Louis-François de VERGILE, marchand mercier, même rue - Emperlise de l'atelier par Jacques-Laurent COSSON, rue de Charonne, et Roger VANDERCRUSE dit LACROIX, demeurant grande rue du faubourg Saint-Antoine, tous 2 maîtres ébénistes : 4 établis, outils bois de sapin, chêne, acajou (594 l. 10 s.), citron, amarante, ébène, bois de rose - 2 secrétaires en armoire non finis 140 l.- 4 tables en bois de citron finis 192 l.- 4 tables à patin en bois d'acajou 120 l.- 1 commode de 4 pieds en bois d'acajou 75 l. Papiers : contrat de mariage DURAND-CORDIER devant SILLY (et IX) 2 mai 1787, lui 600 l. dame veuve Cordier d'une 1 400 l. de dot + 200 l. lui a recueilli 500 l. de son père et mère. Il est du à Durand pour ouvrages et marchandises fournis : par PRESLE, ébéniste, rue Saint-Martin 178 l. par HENRY, maître ébéniste au Palais Royal 350 l. par BONNEMAIN, ébéniste rue Saint-Honoré 96 l. il doit à de Vergile 533 l. et à la veuve CORDIER, sa belle mère 600 l.- contrat de mariage de Louis DURAND maître ébéniste, rue de Charonne avec Marie-Françoise-Louise MARYE, fille d'1 maître perruquier - Témoins du futur, François-Honoré LEMARCHAND, marchand mercier, et DEMOULIN sa femme, Louis-François de VERGILE, marchand mercier et DEMOULIN, épouse amis, Marie-Madeleine COURTOIS, veuve de Guillaume CORDIER, ébéniste et Guillaume-Jean CORDIER ébéniste, amis, .. elle, dot de 1200 l. et apporte + 1200 l.
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1789-06-05
5 juin 1789 - 7 juin 1789
xsd:date
1789-06-07
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Origine de l'information :
Artisans du meuble, 1736-1799, par Ch. H. Lerch, 1990-1993 (fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de création de la notice : 2010
Inventaire après décès de Marie-Louise CORDIER femme de Louis DURAND, maître ébéniste à Paris, rue de Charonne, qui laisse 1 fille mineure, décédée 2 décembre 1788, en présence de Louis-François de VERGILE, marchand mercier, même rue - Emperlise de l'atelier par Jacques-Laurent COSSON, rue de Charonne, et Roger VANDERCRUSE dit LACROIX, demeurant grande rue du faubourg Saint-Antoine, tous 2 maîtres ébénistes : 4 établis, outils bois de sapin, chêne, acajou (594 l. 10 s.), citron, amarante, ébène, bois de rose - 2 secrétaires en armoire non finis 140 l.- 4 tables en bois de citron finis 192 l.- 4 tables à patin en bois d'acajou 120 l.- 1 commode de 4 pieds en bois d'acajou 75 l. Papiers : contrat de mariage DURAND-CORDIER devant SILLY (et IX) 2 mai 1787, lui 600 l. dame veuve Cordier d'une 1 400 l. de dot + 200 l. lui a recueilli 500 l. de son père et mère. Il est du à Durand pour ouvrages et marchandises fournis : par PRESLE, ébéniste, rue Saint-Martin 178 l. par HENRY, maître ébéniste au Palais Royal 350 l. par BONNEMAIN, ébéniste rue Saint-Honoré 96 l. il doit à de Vergile 533 l. et à la veuve CORDIER, sa belle mère 600 l.- contrat de mariage de Louis DURAND maître ébéniste, rue de Charonne avec Marie-Françoise-Louise MARYE, fille d'1 maître perruquier - Témoins du futur, François-Honoré LEMARCHAND, marchand mercier, et DEMOULIN sa femme, Louis-François de VERGILE, marchand mercier et DEMOULIN, épouse amis, Marie-Madeleine COURTOIS, veuve de Guillaume CORDIER, ébéniste et Guillaume-Jean CORDIER ébéniste, amis, .. elle, dot de 1200 l. et apporte + 1200 l.