Inventaire après décès de François Gonord, dressé dans une maison située 17, rue Moreau, Faubourg-Saint-Antoine, faisant partie de l'Hospice royal des Quinze-Vingt, où le défunt est mort, le 28 février 1822, à la requête de sa veuve, Marie Marguerite Bourdonné, demeurant même adresse, et comme tutrice de leur fille, Victoire Augustine Rose Gonord. (10 f.). Extrait : Par le rapport en date à Paris du 7 avril 1822, M.M. Molard et Gay-Lussac, déclarent que par le procédé décrit dans le brevet de M. Gonord, on peut, étant donnée une planche quelconque, graver en creux ou en relief, sur cuivre, acier ou autres métal, obtenir des empreintes parfaitement semblables à la gravure plus grande ou plus petite en dimensions linéaires, dans le rapport de simple au double mais plus parfaite lorsqu'on s'écarte moins de l'original, que les dites empreintes, réduites ou non réduites, peuvent être appliquées sur toute espèce de poteries, tôles et cartons vernis et pierres lithographiques. Affirmant en outre que les procédés décrits dans le brevet et dont ils ont parfaite connaissance, sont très simples et peu dispendieux lorsque l'on a des planches en métal gravé. Et estiment la valeur dudit brevet à la somme de 3 000 francs --------------------------------Signé, Gay-Lussac.

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Inventaire après décès de François Gonord, dressé dans une maison située 17, rue Moreau, Faubourg-Saint-Antoine, faisant partie de l'Hospice royal des Quinze-Vingt, où le défunt est mort, le 28 février 1822, à la requête de sa veuve, Marie Marguerite Bourdonné, demeurant même adresse, et comme tutrice de leur fille, Victoire Augustine Rose Gonord. (10 f.). Extrait : Par le rapport en date à Paris du 7 avril 1822, M.M. Molard et Gay-Lussac, déclarent que par le procédé décrit dans le brevet de M. Gonord, on peut, étant donnée une planche quelconque, graver en creux ou en relief, sur cuivre, acier ou autres métal, obtenir des empreintes parfaitement semblables à la gravure plus grande ou plus petite en dimensions linéaires, dans le rapport de simple au double mais plus parfaite lorsqu'on s'écarte moins de l'original, que les dites empreintes, réduites ou non réduites, peuvent être appliquées sur toute espèce de poteries, tôles et cartons vernis et pierres lithographiques. Affirmant en outre que les procédés décrits dans le brevet et dont ils ont parfaite connaissance, sont très simples et peu dispendieux lorsque l'on a des planches en métal gravé. Et estiment la valeur dudit brevet à la somme de 3 000 francs --------------------------------Signé, Gay-Lussac. 
xsd:date 1822-03-18 
18 mars 1822 
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : De l'image fixe à l'image animée (1820-1910), documents du Minutier central des notaires de Paris relatifs à l'histoire des photographes et de la photographie, par Marc Durand, Paris, Archives nationales, 2013 (sous presse), notice n° 2189 (version dématérialisée de l'instrument de recherche, les notices biographiques et compléments de descriptions d'actes ne se trouvent que sur la version papier de l'ouvrage, voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2010  
Inventaire après décès de François Gonord, dressé dans une maison située 17, rue Moreau, Faubourg-Saint-Antoine, faisant partie de l'Hospice royal des Quinze-Vingt, où le défunt est mort, le 28 février 1822, à la requête de sa veuve, Marie Marguerite Bourdonné, demeurant même adresse, et comme tutrice de leur fille, Victoire Augustine Rose Gonord. (10 f.). Extrait : Par le rapport en date à Paris du 7 avril 1822, M.M. Molard et Gay-Lussac, déclarent que par le procédé décrit dans le brevet de M. Gonord, on peut, étant donnée une planche quelconque, graver en creux ou en relief, sur cuivre, acier ou autres métal, obtenir des empreintes parfaitement semblables à la gravure plus grande ou plus petite en dimensions linéaires, dans le rapport de simple au double mais plus parfaite lorsqu'on s'écarte moins de l'original, que les dites empreintes, réduites ou non réduites, peuvent être appliquées sur toute espèce de poteries, tôles et cartons vernis et pierres lithographiques. Affirmant en outre que les procédés décrits dans le brevet et dont ils ont parfaite connaissance, sont très simples et peu dispendieux lorsque l'on a des planches en métal gravé. Et estiment la valeur dudit brevet à la somme de 3 000 francs --------------------------------Signé, Gay-Lussac. 

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