Pierre Colart, Jean Crinsel et Raoulin Coulart, écoliers étudiant en l'Université de Paris, au collège de Montaigu, déclarent que, le jour de la Saint-Michel, le serviteur de Jean Riblet, Fleurant, se rendant chez le barbier 'pour soy faire appareiller', s'arrêta chez Olivier d'Erquinvillers, douillier, et dit à la nourrice : 'Je vous prie envoier veoir jusques an la maison de mon maistre, savoir s'il est poinct blessé' ; la nourrice ayant répliqué : 'Pourquoi?', Fleurant raconta qu'il était appuyé sur l'ouvroir de son maître, quand survint un des domestiques du chandelier, qui lui dit : 'Pourquoy as tu cassé les chandelles de nostre ouvrouer?' ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
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Pierre Colart, Jean Crinsel et Raoulin Coulart, écoliers étudiant en l'Université de Paris, au collège de Montaigu, déclarent que, le jour de la Saint-Michel, le serviteur de Jean Riblet, Fleurant, se rendant chez le barbier 'pour soy faire appareiller', s'arrêta chez Olivier d'Erquinvillers, douillier, et dit à la nourrice : 'Je vous prie envoier veoir jusques an la maison de mon maistre, savoir s'il est poinct blessé' ; la nourrice ayant répliqué : 'Pourquoi?', Fleurant raconta qu'il était appuyé sur l'ouvroir de son maître, quand survint un des domestiques du chandelier, qui lui dit : 'Pourquoy as tu cassé les chandelles de nostre ouvrouer?' ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
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1517-10-01
octobre 1517
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1517-10-31
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle, tome I, Paris, Champion, 1905, XLII-932 p.
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Informations complémentaires :
Fleurant ayant nié, son interlocuteur lui donna un soufflet.
Un second, intervenant, le frappa d'un bâton à la tête, un troisième, d'un couteau à la main.
Fleurant se défendit alors et frappa de son poignard l'un des agresseurs. Incomplet de la fin.
Origine de l'information :
Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle [étude XXXIII], t. I, 1498-1545 [3608 actes], Paris, 1905, p. 5, notice n° 22 (instrument de recherche imprimé dématérialisé dont la version intégrale est accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Autres dépouillement(s) :
Fichier Collèges et université de Paris au XVIe siècle.
Date de révision : 2010-2012
Date de création de la notice : 2009
Pierre Colart, Jean Crinsel et Raoulin Coulart, écoliers étudiant en l'Université de Paris, au collège de Montaigu, déclarent que, le jour de la Saint-Michel, le serviteur de Jean Riblet, Fleurant, se rendant chez le barbier 'pour soy faire appareiller', s'arrêta chez Olivier d'Erquinvillers, douillier, et dit à la nourrice : 'Je vous prie envoier veoir jusques an la maison de mon maistre, savoir s'il est poinct blessé' ; la nourrice ayant répliqué : 'Pourquoi?', Fleurant raconta qu'il était appuyé sur l'ouvroir de son maître, quand survint un des domestiques du chandelier, qui lui dit : 'Pourquoy as tu cassé les chandelles de nostre ouvrouer?' ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]
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Colart, Pierre
Coulart, Raoulin
Crinsel, Jean
Riblet, Jean
Erquinvillers, Olivier d'
Erquinvillers, Olivier d'
Erquinvillers, Olivier d'