Constitution par Christophe Hennequin, conseiller, etc. (sic), et Bonne Couraud, sa femme, au profit de l'abbaye de Notre-Dame de Chelles-Sainte-Bautour, d'une rente de 25 l. t., à servir la vie durant de leur fille Marie ; Christophe Hennequin, qui avait déjà donné 100 l. t. au monastère, s'engage à verser pareille somme le jour de la profession de la jeune fille ; en outre, dans le cas où les parents de la religieuse ou l'un d'eux décéderait avant sa profession, Marie Hennequin ne pourrait prétendre sur la succession qu'à la rente de 25 l. t.

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Constitution par Christophe Hennequin, conseiller, etc. (sic), et Bonne Couraud, sa femme, au profit de l'abbaye de Notre-Dame de Chelles-Sainte-Bautour, d'une rente de 25 l. t., à servir la vie durant de leur fille Marie ; Christophe Hennequin, qui avait déjà donné 100 l. t. au monastère, s'engage à verser pareille somme le jour de la profession de la jeune fille ; en outre, dans le cas où les parents de la religieuse ou l'un d'eux décéderait avant sa profession, Marie Hennequin ne pourrait prétendre sur la succession qu'à la rente de 25 l. t. 
xsd:date 1524-03-14 
14 mars 1524 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle, tome I, Paris, Champion, 1905, XLII-932 p.  
rdf:XMLLiteral Origine de l'information : Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle [étude XXXIII], t. I, 1498-1545 [3608 actes], Paris, 1905, p. 94, notice n° 477 (instrument de recherche imprimé dématérialisé dont la version intégrale est accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2010-2012 Date de création de la notice :2009  
Constitution par Christophe Hennequin, conseiller, etc. (sic), et Bonne Couraud, sa femme, au profit de l'abbaye de Notre-Dame de Chelles-Sainte-Bautour, d'une rente de 25 l. t., à servir la vie durant de leur fille Marie ; Christophe Hennequin, qui avait déjà donné 100 l. t. au monastère, s'engage à verser pareille somme le jour de la profession de la jeune fille ; en outre, dans le cas où les parents de la religieuse ou l'un d'eux décéderait avant sa profession, Marie Hennequin ne pourrait prétendre sur la succession qu'à la rente de 25 l. t. 

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