Transaction entre Madeleine Royer, naguère chambrière servant en la maison et étant au service de feu Pierre Raffelin, notaire de la Conservation des privilèges apostoliques de l'Université et procureur ès cours d'église, demeurant actuellement grand rue Saint-Jacques, maison à l'enseigne du Soufflet, d'une part, et Jacques Raffelin, bourgeois de Paris, fils dudit Pierre Raffelin, agissant en son nom et au nom de ses frères et soeurs, mineurs, d'autre part ; Madeleine Royer, désignée comme exécutrice testamentaire avec Arnoul Monnart et Martin de Jouy, était restée seule exécutrice, à la suite de la renonciation de ces derniers ; [Suite de la description dans les informations complémentaires]

http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041878-c1p6yagir5wj-1c01ax3ih2xw0 an entity of type: RecordResource

Transaction entre Madeleine Royer, naguère chambrière servant en la maison et étant au service de feu Pierre Raffelin, notaire de la Conservation des privilèges apostoliques de l'Université et procureur ès cours d'église, demeurant actuellement grand rue Saint-Jacques, maison à l'enseigne du Soufflet, d'une part, et Jacques Raffelin, bourgeois de Paris, fils dudit Pierre Raffelin, agissant en son nom et au nom de ses frères et soeurs, mineurs, d'autre part ; Madeleine Royer, désignée comme exécutrice testamentaire avec Arnoul Monnart et Martin de Jouy, était restée seule exécutrice, à la suite de la renonciation de ces derniers ; [Suite de la description dans les informations complémentaires] 
xsd:date 1545-08-28 
28 août 1545 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle, tome II, Paris, Champion, 1923, LXXVII-832 p.  
rdf:XMLLiteral Informations complémentaires : elle avait fait poser les scellés sur les biens dépendant de la succession, dont elle revendiquait le quart, comme le quart de la maison du défunt, rue des Noyers, en vertu du testament et du contrat de mariage passé entre elle et le défunt. Les héritiers contestaient la validité des legs, comme faits 'au lict de la mort', la veille du décès, et celle du contrat de mariage, 'pource que lad. Madelaine estoit mariée à ung nommé Chéron Godin, et en ce auroit abusé l'Esglise et led. deffunct'. D'où procès au Châtelet. Moyennant 9 l. t., Madeleine Royer renonce à toute prétention, y compris les salaires qui pourraient lui être dûs. Origine de l'information : Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle [étude XXXIII], t. II, 1532-1555 [3002 actes], Paris, 1923, p. 72, notice n° 3852 (instrument de recherche imprimé dématérialisé dont la version intégrale est accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2010-2012 Date de création de la notice :2009  
Transaction entre Madeleine Royer, naguère chambrière servant en la maison et étant au service de feu Pierre Raffelin, notaire de la Conservation des privilèges apostoliques de l'Université et procureur ès cours d'église, demeurant actuellement grand rue Saint-Jacques, maison à l'enseigne du Soufflet, d'une part, et Jacques Raffelin, bourgeois de Paris, fils dudit Pierre Raffelin, agissant en son nom et au nom de ses frères et soeurs, mineurs, d'autre part ; Madeleine Royer, désignée comme exécutrice testamentaire avec Arnoul Monnart et Martin de Jouy, était restée seule exécutrice, à la suite de la renonciation de ces derniers ; [Suite de la description dans les informations complémentaires] 

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