Mathieu Bardoul, régent au collège du Plessis, déclare François Ginguelle, naguère étudiant à Paris, neveu du seigneur de Guengo en Bretagne, tuteur de Guy et Jean Ferron, aussi ses neveux, lui a, le 1er Février 1580, en repartant en Bretagne, laissé lesdits Ferron en pension et écolage à raison de 50 écus par an, payables de 3 mois en 3 mois et reconnaît avoir reçu 25 écus à titre d'acompte.
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Mathieu Bardoul, régent au collège du Plessis, déclare François Ginguelle, naguère étudiant à Paris, neveu du seigneur de Guengo en Bretagne, tuteur de Guy et Jean Ferron, aussi ses neveux, lui a, le 1er Février 1580, en repartant en Bretagne, laissé lesdits Ferron en pension et écolage à raison de 50 écus par an, payables de 3 mois en 3 mois et reconnaît avoir reçu 25 écus à titre d'acompte.
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1580-05-13
13 mai 1580
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Origine de l'information :
Collèges et université de Paris au XVIe siècle (env. 9000 actes), par Madeleine Jurgens, Pierre-Yves Louis, Agnès Masson et Xenia Pamfilova, v. 1950, 1985-1994. (fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2010
Date de création de la notice : 2007
Mathieu Bardoul, régent au collège du Plessis, déclare François Ginguelle, naguère étudiant à Paris, neveu du seigneur de Guengo en Bretagne, tuteur de Guy et Jean Ferron, aussi ses neveux, lui a, le 1er Février 1580, en repartant en Bretagne, laissé lesdits Ferron en pension et écolage à raison de 50 écus par an, payables de 3 mois en 3 mois et reconnaît avoir reçu 25 écus à titre d'acompte.
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Bardoul, Mathieu
Ferron, Guy
Ferron, Jean
Ginguelle, François