SAVOIE § Déclaration d'Etienne ROCHON, marchand bourgeois de Lyon, en son nom et pour Mathurin GALLIER, son associé, comme quoi Jacques de MONTGOMMERY, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi et procureur d'Henry de SAVOIE, duc de NEMOURS, cède et transporte 5000 ducatons à 55 sols pièce, revenant à 13 750 livres ts. sur les deniers que le duc à droit de percevoir au pays de Savoie, par les mains d'Horace de BONFILS, son receveur général, à cause de la même somme reçue par les sieurs GALLIER et ROCHON, qui déclarent qu'en réalité cette somme est dûe à Martin BACHELIER bourgeois de Paris
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SAVOIE § Déclaration d'Etienne ROCHON, marchand bourgeois de Lyon, en son nom et pour Mathurin GALLIER, son associé, comme quoi Jacques de MONTGOMMERY, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi et procureur d'Henry de SAVOIE, duc de NEMOURS, cède et transporte 5000 ducatons à 55 sols pièce, revenant à 13 750 livres ts. sur les deniers que le duc à droit de percevoir au pays de Savoie, par les mains d'Horace de BONFILS, son receveur général, à cause de la même somme reçue par les sieurs GALLIER et ROCHON, qui déclarent qu'en réalité cette somme est dûe à Martin BACHELIER bourgeois de Paris
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1622-02-07
7 février 1622
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Origine de l'information :
Fichier dit 'général' XVIIe-XVIIIe siècles, par le personnel du Minutier, 1954-1999 ( fichier papier entièrement dématérialisé ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011-2012
Date de création de la notice : 2010
SAVOIE § Déclaration d'Etienne ROCHON, marchand bourgeois de Lyon, en son nom et pour Mathurin GALLIER, son associé, comme quoi Jacques de MONTGOMMERY, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi et procureur d'Henry de SAVOIE, duc de NEMOURS, cède et transporte 5000 ducatons à 55 sols pièce, revenant à 13 750 livres ts. sur les deniers que le duc à droit de percevoir au pays de Savoie, par les mains d'Horace de BONFILS, son receveur général, à cause de la même somme reçue par les sieurs GALLIER et ROCHON, qui déclarent qu'en réalité cette somme est dûe à Martin BACHELIER bourgeois de Paris