Liquidation entre Élisabeth Maupin, veuve de Benoît Massou, sculpteur des bâtiments du roi, demeurant rue Notre-Dame-des-Victoires, à cause de la communauté de biens ayant existé entre les époux, et comme héritière de Louis Thomas Massou, son fils, décédé après la confection de l'inventaire après décès de son père (dressé par Thomas le 19 juillet 1686), François-Benoît Massou, sculpteur ordinaire du roi, vivant avec sa mère, Marie-Marthe Massou, femme de Louis Gobilliard, maître maçon entrepreneur demeurant, rue Vieille-du-Temple, et Marie-Madeleine Massou, femme de Jean Breton, demeurant rue du Temple, héritiers de Benoît Massou, leur père, et de Louis Thomas et Pierre-François Massou, leurs frères, de la succession de Benoît Massou.
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Liquidation entre Élisabeth Maupin, veuve de Benoît Massou, sculpteur des bâtiments du roi, demeurant rue Notre-Dame-des-Victoires, à cause de la communauté de biens ayant existé entre les époux, et comme héritière de Louis Thomas Massou, son fils, décédé après la confection de l'inventaire après décès de son père (dressé par Thomas le 19 juillet 1686), François-Benoît Massou, sculpteur ordinaire du roi, vivant avec sa mère, Marie-Marthe Massou, femme de Louis Gobilliard, maître maçon entrepreneur demeurant, rue Vieille-du-Temple, et Marie-Madeleine Massou, femme de Jean Breton, demeurant rue du Temple, héritiers de Benoît Massou, leur père, et de Louis Thomas et Pierre-François Massou, leurs frères, de la succession de Benoît Massou.
xsd:date
1709-11-23
23 novembre 1709 - 4 avril 1711
xsd:date
1711-04-04
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome I, Paris, Archives nationales, 1964, XLVI-866 p.
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Informations complémentaires :
La masse successorale des biens de Benoît Massou se compose d'une maison avec jardin sise rue Notre-Dame-des-Victoires, évaluée 35.000 livres, et d'effets mobiliers d'une valeur totale de 3.139 livres 15 sols 6 deniers. Il est fait mention de 2.106 livres dues par le roi à la succession de Benoît Massou pour travaux de l'artiste et du contrat de mariage passé entre lui et Elisabeth Maupin le 13 septembre 1665 devant Manchon.
A la suite : 1711, 4 avril. Partage fait par la veuve de Benoît Massou entre ses enfants de la somme de 14.000 livres qu'elle a reçues du sieur Raffy, acquéreur de la maison sise rue Notre-Dame-des-Victoires, en acompte sur le prix de la vente passée devant Gondin le 22 mars 1710.
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome I [études XXXVI, LXVIII, LXX, XCI, XCII, CXIII, CXV, CXVIII, soit 1543 actes], Paris, Archives nationales, 1964, p. 282 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Liquidation entre Élisabeth Maupin, veuve de Benoît Massou, sculpteur des bâtiments du roi, demeurant rue Notre-Dame-des-Victoires, à cause de la communauté de biens ayant existé entre les époux, et comme héritière de Louis Thomas Massou, son fils, décédé après la confection de l'inventaire après décès de son père (dressé par Thomas le 19 juillet 1686), François-Benoît Massou, sculpteur ordinaire du roi, vivant avec sa mère, Marie-Marthe Massou, femme de Louis Gobilliard, maître maçon entrepreneur demeurant, rue Vieille-du-Temple, et Marie-Madeleine Massou, femme de Jean Breton, demeurant rue du Temple, héritiers de Benoît Massou, leur père, et de Louis Thomas et Pierre-François Massou, leurs frères, de la succession de Benoît Massou.