Quittance au garde du Trésor royal par François-Benoît Massou et Marie-Anne Granier, sa femme, demeurant aux galeries du Louvre, de 3.200 livres, en remboursement de 160 livres de rente réduite, provenant de 200 livres de rente constituées au profit de Pierre Granier, sculpteur ordinaire du roi, et de Marie Meunier, sa femme, le 8 novembre 1702, devant Ogier, et appartenant audit Massou du fait de sa femme qui en a été dotée par ses parents aux termes de son contrat de mariage (7 juin 1710, Touvenot et Ogier, notaires).
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Quittance au garde du Trésor royal par François-Benoît Massou et Marie-Anne Granier, sa femme, demeurant aux galeries du Louvre, de 3.200 livres, en remboursement de 160 livres de rente réduite, provenant de 200 livres de rente constituées au profit de Pierre Granier, sculpteur ordinaire du roi, et de Marie Meunier, sa femme, le 8 novembre 1702, devant Ogier, et appartenant audit Massou du fait de sa femme qui en a été dotée par ses parents aux termes de son contrat de mariage (7 juin 1710, Touvenot et Ogier, notaires).
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1713-12-27
27 décembre 1713
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Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome I, Paris, Archives nationales, 1964, XLVI-866 p.
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Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome I [études XXXVI, LXVIII, LXX, XCI, XCII, CXIII, CXV, CXVIII, soit 1543 actes], Paris, Archives nationales, 1964, p. 284 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Quittance au garde du Trésor royal par François-Benoît Massou et Marie-Anne Granier, sa femme, demeurant aux galeries du Louvre, de 3.200 livres, en remboursement de 160 livres de rente réduite, provenant de 200 livres de rente constituées au profit de Pierre Granier, sculpteur ordinaire du roi, et de Marie Meunier, sa femme, le 8 novembre 1702, devant Ogier, et appartenant audit Massou du fait de sa femme qui en a été dotée par ses parents aux termes de son contrat de mariage (7 juin 1710, Touvenot et Ogier, notaires).