Constitution par François-Benoît Massou au profit de Michel Richer, maître-maçon, demeurant rue des Écouffes, de 50 livres de rente perpétuelle, au principal de 1.000 livres (après lui avoir payé comptant la somme de 429 livres), le tout pour se décharger de l'obligation solidaire qu'il avait contractée avec Louis Gobilliard et Marie-Marthe Massou, sa femme, demeurant rue de Poitou, lesquels, pour s'acquitter à leur tour envers François-Benoît Massou et l'indemniser de ses frais, constituent à son profit une rente perpétuelle de 75 livres au principal de l.500 livres.

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Constitution par François-Benoît Massou au profit de Michel Richer, maître-maçon, demeurant rue des Écouffes, de 50 livres de rente perpétuelle, au principal de 1.000 livres (après lui avoir payé comptant la somme de 429 livres), le tout pour se décharger de l'obligation solidaire qu'il avait contractée avec Louis Gobilliard et Marie-Marthe Massou, sa femme, demeurant rue de Poitou, lesquels, pour s'acquitter à leur tour envers François-Benoît Massou et l'indemniser de ses frais, constituent à son profit une rente perpétuelle de 75 livres au principal de l.500 livres. 
xsd:date 1718-02-10 
10 février 1718 - 15 février 1718 
xsd:date 1718-02-15 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome I, Paris, Archives nationales, 1964, XLVI-866 p.  
rdf:XMLLiteral Informations complémentaires : A la suite : 1718, 10 février. Déclaration de Marie-Anne Granier, femme de François-Benoît Massou, qui se reconnaît solidaire de son mari dans la constitution de rente ci-dessus. Pièces jointes : 1716, 27 janvier. Déclaration de Louis Gobilliard et de sa femme, demeurant rue Vieille-du-Temple, qui reconnaissent que François-Benoît Massou ne s'est obligé solidairement avec eux envers Guillaume Dupré que pour leur rendre service, le prêt étant fait à leur seul profit. 1718, 15 février. Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome I [études XXXVI, LXVIII, LXX, XCI, XCII, CXIII, CXV, CXVIII, soit 1543 actes], Paris, Archives nationales, 1964, p. 285 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Constitution par François-Benoît Massou au profit de Michel Richer, maître-maçon, demeurant rue des Écouffes, de 50 livres de rente perpétuelle, au principal de 1.000 livres (après lui avoir payé comptant la somme de 429 livres), le tout pour se décharger de l'obligation solidaire qu'il avait contractée avec Louis Gobilliard et Marie-Marthe Massou, sa femme, demeurant rue de Poitou, lesquels, pour s'acquitter à leur tour envers François-Benoît Massou et l'indemniser de ses frais, constituent à son profit une rente perpétuelle de 75 livres au principal de l.500 livres. 

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