Quittance au garde du Trésor royal par Marguerite Guérin, veuve de Jérôme Derbais, et par François et Michel Derbais, ses fils, de 2.000 livres en remboursement de 100 livres de rente constituée au profit du défunt en 1711.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041973-c1p6ywpoh49v--1cex0460q4yop an entity of type: RecordResource
Quittance au garde du Trésor royal par Marguerite Guérin, veuve de Jérôme Derbais, et par François et Michel Derbais, ses fils, de 2.000 livres en remboursement de 100 livres de rente constituée au profit du défunt en 1711.
xsd:date
1719-12-15
15 décembre 1719
rdf:XMLLiteral
Autre(s) instrument(s) de recherche
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome I, Paris, Archives nationales, 1964, XLVI-866 p.
rdf:XMLLiteral
Informations complémentaires :
Pièce jointe : 1712, 10 novembre. Notoriété après décès de Jérôme Derbais aux dires de Jacques Varignon, architecte des bâtiments du roi, demeurant rue Beauregard, et d'Augustin Chef, marchand épicier, bourgeois de Paris, demeurant rue Poissonnière, qui attestent que Jérôme Derbais, décédé le 5 octobre, a laissé pour veuve Marguerite Guérin et pour uniques héritiers ses enfants François Derbais, avocat au Parlement, et Michel Derbais, bourgeois de Paris, et qu'il n'a pas été fait d'inventaire (Gaschier, notaire.)
Origine de l'information :
Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome I [études XXXVI, LXVIII, LXX, XCI, XCII, CXIII, CXV, CXVIII, soit 1543 actes], Paris, Archives nationales, 1964, p. 248 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2011
Date de création de la notice : 2009
Quittance au garde du Trésor royal par Marguerite Guérin, veuve de Jérôme Derbais, et par François et Michel Derbais, ses fils, de 2.000 livres en remboursement de 100 livres de rente constituée au profit du défunt en 1711.