Contrat de mariage entre Pierre-Philippe Andrieu, avocat au Parlement, seigneur de Moncreux, demeurant rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, fils de défunts Pierre Andrieu, ancien avocat au Parlement, et Jeanne-Catherine Moreau, veuf d'Élisabeth Philiponnat, et Anne-Marguerite Germain, fille de Thomas Germain et d'Anne Denise Gauchelet, demeurant aux galeries du Louvre. Les époux Germain s'engagent à donner à leur fille 40.000 livres de dot, dont 10.000 livres payables la veille du mariage et 30.000 livres sous forme de l.500 livres de rente qu'ils rachèteront quand ils le pourront; le sieur Andrieu donne en douaire à sa future épouse l.500 livres de rente; outre ses biens en fonds et immeubles (non précisés) il apporte 20.000 livres en sommes à recouvrir, en vins de Champagne provenant de son cru, en meubles, glaces, tableaux, linge de ménage, livres, vaisselle d'argent.

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Contrat de mariage entre Pierre-Philippe Andrieu, avocat au Parlement, seigneur de Moncreux, demeurant rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, fils de défunts Pierre Andrieu, ancien avocat au Parlement, et Jeanne-Catherine Moreau, veuf d'Élisabeth Philiponnat, et Anne-Marguerite Germain, fille de Thomas Germain et d'Anne Denise Gauchelet, demeurant aux galeries du Louvre. Les époux Germain s'engagent à donner à leur fille 40.000 livres de dot, dont 10.000 livres payables la veille du mariage et 30.000 livres sous forme de l.500 livres de rente qu'ils rachèteront quand ils le pourront; le sieur Andrieu donne en douaire à sa future épouse l.500 livres de rente; outre ses biens en fonds et immeubles (non précisés) il apporte 20.000 livres en sommes à recouvrir, en vins de Champagne provenant de son cru, en meubles, glaces, tableaux, linge de ménage, livres, vaisselle d'argent. 
xsd:date 1747-08-06 
6 août 1747 - 30 décembre 1749 
xsd:date 1749-12-30 
rdf:XMLLiteral Autre(s) instrument(s) de recherche Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par M. Rambaud, tome I, Paris, Archives nationales, 1964, XLVI-866 p.  
rdf:XMLLiteral Informations complémentaires : Les époux Germain s'engagent à donner à leur fille 40.000 livres de dot, dont 10.000 livres payables la veille du mariage et 30.000 livres sous forme de l.500 livres de rente qu'ils rachèteront quand ils le pourront; le sieur Andrieu donne en douaire à sa future épouse l.500 livres de rente; outre ses biens en fonds et immeubles (non précisés) il apporte 20.000 livres en sommes à recouvrir, en vins de Champagne provenant de son cru, en meubles, glaces, tableaux, linge de ménage, livres, vaisselle d'argent. A la suite : 1747, 18 août. Quittance par les futurs époux à Thomas Germain de 10.000 livres. 1748, 19 février. Quittance par Pierre Andrieu à Thomas Germain de 20.000 livres sur les 30.000 livres restant dues de la dot de sa femme. 1749, 30 décembre. Quittance par le même à la veuve de Thomas Germain des 10.000 livres restant. Origine de l'information : Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750), par Mireille Rambaud, tome I [études XXXVI, LXVIII, LXX, XCI, XCII, CXIII, CXV, CXVIII, soit 1543 actes], Paris, Archives nationales, 1964, p. 71 (instrument de recherche imprimé dématérialisé, certaines notices sont plus détaillées dans la version intégrale accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier). Date de révision :2011 Date de création de la notice :2009  
Contrat de mariage entre Pierre-Philippe Andrieu, avocat au Parlement, seigneur de Moncreux, demeurant rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, fils de défunts Pierre Andrieu, ancien avocat au Parlement, et Jeanne-Catherine Moreau, veuf d'Élisabeth Philiponnat, et Anne-Marguerite Germain, fille de Thomas Germain et d'Anne Denise Gauchelet, demeurant aux galeries du Louvre. Les époux Germain s'engagent à donner à leur fille 40.000 livres de dot, dont 10.000 livres payables la veille du mariage et 30.000 livres sous forme de l.500 livres de rente qu'ils rachèteront quand ils le pourront; le sieur Andrieu donne en douaire à sa future épouse l.500 livres de rente; outre ses biens en fonds et immeubles (non précisés) il apporte 20.000 livres en sommes à recouvrir, en vins de Champagne provenant de son cru, en meubles, glaces, tableaux, linge de ménage, livres, vaisselle d'argent. 

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