Compte entre Jeanne Troussevache, veuve de Jean Le Bret, maître jardinier, demeurant rue Montmartre, et Jean-Baptiste Fresneau, architecte et entrepreneur, demeurant rue Saint-Antoine, étant aux droits de Jean Fresneau, architecte privilégié du roi suivant la cour, héritier de défunte Jeanne Fresneau, sa fille, à laquelle ladite veuve Le Bret avait vendu une maison à Saint-Denis, vente annulée par sentence du bailliage de Saint-Denis du 18 avril 1717, confirmée par arrêt du 31 juillet 1722.

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Compte entre Jeanne Troussevache, veuve de Jean Le Bret, maître jardinier, demeurant rue Montmartre, et Jean-Baptiste Fresneau, architecte et entrepreneur, demeurant rue Saint-Antoine, étant aux droits de Jean Fresneau, architecte privilégié du roi suivant la cour, héritier de défunte Jeanne Fresneau, sa fille, à laquelle ladite veuve Le Bret avait vendu une maison à Saint-Denis, vente annulée par sentence du bailliage de Saint-Denis du 18 avril 1717, confirmée par arrêt du 31 juillet 1722. 
xsd:date 1723-06-06 
6 juin 1723 
MC/ET/I/312 
Compte entre Jeanne Troussevache, veuve de Jean Le Bret, maître jardinier, demeurant rue Montmartre, et Jean-Baptiste Fresneau, architecte et entrepreneur, demeurant rue Saint-Antoine, étant aux droits de Jean Fresneau, architecte privilégié du roi suivant la cour, héritier de défunte Jeanne Fresneau, sa fille, à laquelle ladite veuve Le Bret avait vendu une maison à Saint-Denis, vente annulée par sentence du bailliage de Saint-Denis du 18 avril 1717, confirmée par arrêt du 31 juillet 1722. 

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