Transaction entre Jean Boullier de Bourges, architecte des bâtiments du roi, demeurant rue Montmartre, en son nom et au nom des enfants nés de son mariage avec défunte Françoise Versau, au nom encore de ceux qui pourraient se présenter comme appartenant à la descendance de sa fille, défunte Marie Boullier de Bourges, épouse de Jacques de Saint-Martin, maître peintre, auparavant veuve de Pierre Petit-Delafond, marchand bourgeois de Paris, d'une part, et Jacques de Saint-Martin, demeurant rue Montmartre, d'autre part, au sujet de la donation entre vifs au dernier survivant, stipulée au contrat de mariage passé entre ledit Saint-Martin et Marie Boullier de Bourges, le 4 octobre 1696, devant Mortier et Parque.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/instantiation/041170-c1p6spn02jmr--1cofcvtbu0wkq-i1 an entity of type: Instantiation
Transaction entre Jean Boullier de Bourges, architecte des bâtiments du roi, demeurant rue Montmartre, en son nom et au nom des enfants nés de son mariage avec défunte Françoise Versau, au nom encore de ceux qui pourraient se présenter comme appartenant à la descendance de sa fille, défunte Marie Boullier de Bourges, épouse de Jacques de Saint-Martin, maître peintre, auparavant veuve de Pierre Petit-Delafond, marchand bourgeois de Paris, d'une part, et Jacques de Saint-Martin, demeurant rue Montmartre, d'autre part, au sujet de la donation entre vifs au dernier survivant, stipulée au contrat de mariage passé entre ledit Saint-Martin et Marie Boullier de Bourges, le 4 octobre 1696, devant Mortier et Parque.
xsd:date
1710-05-15
15 mai 1710
MC/ET/IV/352
Transaction entre Jean Boullier de Bourges, architecte des bâtiments du roi, demeurant rue Montmartre, en son nom et au nom des enfants nés de son mariage avec défunte Françoise Versau, au nom encore de ceux qui pourraient se présenter comme appartenant à la descendance de sa fille, défunte Marie Boullier de Bourges, épouse de Jacques de Saint-Martin, maître peintre, auparavant veuve de Pierre Petit-Delafond, marchand bourgeois de Paris, d'une part, et Jacques de Saint-Martin, demeurant rue Montmartre, d'autre part, au sujet de la donation entre vifs au dernier survivant, stipulée au contrat de mariage passé entre ledit Saint-Martin et Marie Boullier de Bourges, le 4 octobre 1696, devant Mortier et Parque.