Transaction entre Maximin Champagne, représentant les religieux, et Jeanne Conefray, veuve de Louis Giraud, en son nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs, au sujet des travaux prévus dans le marché du 12 juin 1706, mentionne dans l'acte ci-dessus (voir à la date du 7 mai 1707) ; comme depuis la mort dudit Giraud 'qui estoit depuis plusieurs années l'architecte, maître maçon et entrepreneur de la Charité de Paris', les travaux n'ont pas été pour suivis conformément au marché, et que des malfaçons ont été observées, les religieux ont traduit la veuve Giraud devant la chambre de maçonnerie du Palais, et un procès-verbal d'expertise a été dressé le 8 mai 1711 de l'avis de Mezeray et Chastelain, experts; les parties décident de terminer leur litige à l'amiable : la veuve Giraud sera déchargée du rétablissement de tous les ouvrages défectueux ou omis, moyennant l'abandon de 10.000 livres sur le prix convenu.
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Transaction entre Maximin Champagne, représentant les religieux, et Jeanne Conefray, veuve de Louis Giraud, en son nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs, au sujet des travaux prévus dans le marché du 12 juin 1706, mentionne dans l'acte ci-dessus (voir à la date du 7 mai 1707) ; comme depuis la mort dudit Giraud 'qui estoit depuis plusieurs années l'architecte, maître maçon et entrepreneur de la Charité de Paris', les travaux n'ont pas été pour suivis conformément au marché, et que des malfaçons ont été observées, les religieux ont traduit la veuve Giraud devant la chambre de maçonnerie du Palais, et un procès-verbal d'expertise a été dressé le 8 mai 1711 de l'avis de Mezeray et Chastelain, experts; les parties décident de terminer leur litige à l'amiable : la veuve Giraud sera déchargée du rétablissement de tous les ouvrages défectueux ou omis, moyennant l'abandon de 10.000 livres sur le prix convenu.
xsd:date
1711-09-10
10 septembre 1711
MC/ET/VIII/891
Transaction entre Maximin Champagne, représentant les religieux, et Jeanne Conefray, veuve de Louis Giraud, en son nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs, au sujet des travaux prévus dans le marché du 12 juin 1706, mentionne dans l'acte ci-dessus (voir à la date du 7 mai 1707) ; comme depuis la mort dudit Giraud 'qui estoit depuis plusieurs années l'architecte, maître maçon et entrepreneur de la Charité de Paris', les travaux n'ont pas été pour suivis conformément au marché, et que des malfaçons ont été observées, les religieux ont traduit la veuve Giraud devant la chambre de maçonnerie du Palais, et un procès-verbal d'expertise a été dressé le 8 mai 1711 de l'avis de Mezeray et Chastelain, experts; les parties décident de terminer leur litige à l'amiable : la veuve Giraud sera déchargée du rétablissement de tous les ouvrages défectueux ou omis, moyennant l'abandon de 10.000 livres sur le prix convenu.