Sentence précitée du Châtelet, autorisant la vente ; on y attribue à tort à la fiancée la propriété de la totalité du douzième, rapportant 32 ou 35 s. t., qu'on évalue à 38 ou 40 l. t. et qu'on permet de vendre ; on y indique la somme à verser au fiancé, 60 l. 10 s. t., celui-ci ne voulant 'prandre ni avoir lad. portion, mais... avoir argent contant pour faire sa marchandise...' ; le contrat, passé devant Bourgeois et Fardeau, était du 27 juillet 1539.
http://data.archives-nationales.culture.gouv.fr/recordResource/041878-c1p6yahvdc2r-1rzgwi640x25g an entity of type: RecordResource
Sentence précitée du Châtelet, autorisant la vente ; on y attribue à tort à la fiancée la propriété de la totalité du douzième, rapportant 32 ou 35 s. t., qu'on évalue à 38 ou 40 l. t. et qu'on permet de vendre ; on y indique la somme à verser au fiancé, 60 l. 10 s. t., celui-ci ne voulant 'prandre ni avoir lad. portion, mais... avoir argent contant pour faire sa marchandise...' ; le contrat, passé devant Bourgeois et Fardeau, était du 27 juillet 1539.
xsd:date
1539-09-03
3 septembre 1539
rdf:XMLLiteral
Autre(s) instrument(s) de recherche
Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle, tome II, Paris, Champion, 1923, LXXVII-832 p.
rdf:XMLLiteral
Origine de l'information :
Ernest Coyecque, Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle [étude XXXIII], t. II, 1532-1555 [3002 actes], Paris, 1923, p. 16, notice n° 3668 (instrument de recherche imprimé dématérialisé dont la version intégrale est accessible en ligne par la rubrique 'Autres instruments de recherche', voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision : 2010-2012
Date de création de la notice : 2009
Sentence précitée du Châtelet, autorisant la vente ; on y attribue à tort à la fiancée la propriété de la totalité du douzième, rapportant 32 ou 35 s. t., qu'on évalue à 38 ou 40 l. t. et qu'on permet de vendre ; on y indique la somme à verser au fiancé, 60 l. 10 s. t., celui-ci ne voulant 'prandre ni avoir lad. portion, mais... avoir argent contant pour faire sa marchandise...' ; le contrat, passé devant Bourgeois et Fardeau, était du 27 juillet 1539.